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Channel: ecommerce – Blog Altima
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A lire dans Mydigitalweek.com : la tribune de Guillaume Ernoult

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Guillaume Ernoult, directeur technique chez altima° prend la parole dans une tribune parue sur Mydigitalweek. « On parle de plus en plus de commerce digital au détriment de l’ecommerce » , face à ce constat, Guillaume Ernoult aborde toute la complexité d’une stratégie omnicanal. Entre site de marque, marketplaces, bornes en magasin, tablettes vendeurs… nombreux sont les retailers - Lire la suite -

Thomas Pinte, Consultant E-Merchandising depuis 1 an chez altima

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  « Mon parcours commence il y a 10 ans par l’acquisition puis évolue vers le social média, la relation client et l’innovation de services digitaux. Aujourd’hui je choisis de faire un focus sur l’exploitation de boutiques on-line en tentant chaque jour de mixer les apprentissages passés. C’est une suite logique qui me permet de - Lire la suite -

Solutions d’e-merchandising : à votre service

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Depuis quelques temps (années peut-être) vous n’arrêtez pas d’entendre parler d’e-merchandising. Vous vous y intéressez, et vous avez raison !  Du coup, vous aussi vous aimeriez bien mettre en place de telles actions pour améliorer les performances de votre site, et je vous comprends. Mais vous vous en doutez, pour ça il faut être outillé ! Beaucoup - Lire la suite -

Les e-commerce RDV reprennent à Montréal et s’installent à New York !

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New York inaugurera sa première conférence le mercredi 18 janvier prochain dans les locaux colorés de Poppin. Côté Montréal, la conférence aura lieu le jeudi 19 janvier dans la boutique de meubles et d’objets design contemporain Nüspace ! Au programme de ces prochains RDV, de nombreux tips d’experts au service de votre performance e-commerce. Découvrez - Lire la suite -

Un éclat de jeunesse pour Babyliss

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Depuis plus de 50 ans, Babyliss est LA référence beauté pour beaucoup de françaises, notamment dans le domaine de la coiffure. Mais aujourd’hui c’est Babyliss qui nous fait confiance pour lui refaire une beauté… D’abord icône du fer à boucler, la marque a su diversifier sa gamme mais aussi sa cible, les hommes, qui peuvent - Lire la suite -

Le mobile, nouvel eldorado des marketeux

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Du Motorola DynaTAC 8000X au Nokia 3310, il y avait déjà une belle évolution technologique ! Si le père des téléphones portables, Martin Cooper, avait soupçonné toutes les fonctionnalités que proposent les GSM d’aujourd’hui… Le temps du snake est bien révolu ! Aujourd’hui il est question de 4G (Haut débit s’il vous plait), de résolution haute - Lire la suite -

#ecomRDV recap: NYC #1

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Dédiés à la performance e-Commerce, les #ecomRDV signés altima°, se déroulent tous les deux mois à New York et à Montréal. Le concept est simple : rassembler les e-commerçants, les partenaires et les amateurs d’e-Com afin d’échanger sur les meilleurs pratiques et solutions de l’industrie. La première édition new-yorkaise s’est tenue mercredi dernier dans la - Lire la suite -

Analytics et Expérience utilisateur : une culture data-driven

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Imaginez d’un côté un consultant UX observant, les yeux rivés, le parcours d’un utilisateur assis juste à côté de lui et l’oreille tendue à l’affut de toutes les informations que ce dernier échangera avec lui. Imaginez ensuite un consultant Analytics, le nez fourré dans des milliers de données sur la fréquentation du site. Imaginez à - Lire la suite -

Retrouvez-nous au salon du iMedia Brand Summit à Biarritz !

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Nous serons présents au salon du iMedia Brand Summit le 13 et le 14 juin à Biarritz ! Le programme a été soigneusement choisit par des professionnels du marketing digital en France afin de vous plonger dans les tendances marketing et digital d’aujourd’hui et de demain. Rendez-vous one to one, ateliers d’experts ; vous assisterez à un - Lire la suite -

S-lab ME :sh, le nouveau concept lab de Salomon !

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S-lab ME :sh c’est quoi ? C’est un service en ligne qui permet de créer des paires de chaussures sur mesure. Un nom à l’image du concept, ME :sh signifie « ME shoes » pour évoquer le fait que chaque modèle de chaussure créé sur cette plateforme est unique. Un projet étudié depuis de longues - Lire la suite -

altima° x Google : Le M-commerce, êtes vous prêts ?

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La révolution des mobiles est en marche… Objet du quotidien et multitâche, les smartphones occasionnent une véritable rupture dans la relation entre les marques et leurs audiences.

Ce n’est plus un secret pour personne, le commerce sur mobile ne cesse d’évoluer et est aujourd’hui totalement présent dans le parcours d’achat. Le quotidien se digitalise de plus en plus; intelligence artificielle, objets connectés… Les internautes démontrent leurs intérêts pour le m-commerce et semblent manifestement beaucoup moins frileux à faire leurs achats via leurs smartphones…

Cette nouvelle cible de mobinautes entraîne des changements de stratégie de la part des entreprises et commerçants. Alors confronté à cette réalité, une question reste à savoir : êtes vous armés pour préparer votre entreprise et son infrastructure à ces changements ?

C’est face à cette nouvelle tendance que Google et altima° organiseront le 15 novembre prochain une table ronde pour comprendre et appréhender le commerce de demain.

 AU PROGRAMME :

Le temps d’une matinée altima° se réunira avec et chez Google pour échanger sur le sujet, plusieurs thèmes seront abordés :

  • Quelles sont les grandes tendances d’utilisation, de comportement, de mutation et d’innovation 2016 ?
  • Comment peut-on aujourd’hui optimiser l’usage du mobile dans le parcours client ?
  • De quelle façon doit-on interconnecter les données et les points de contacts pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs ?
  • Comment le mobile interagit à chaque étape de la chaîne digitale : micro-moment, site, UX, mesure, publicité, CRM omni-canal ?

La rencontre promet d’être riche…

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Rocher en vue du 20 au 22 mars 2018 !

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81,7milliards d’euros. Une hausse de 14,3% en 1 an, le tout grâce à 1,2 milliards de transactions. Voilà les chiffres impressionnants du e-commerce français, qui est en train de devenir l’une des places fortes du commerce online en Europe.

Rester connecté avec cet écosystème est donc une priorité pour continuer à se développer et à grandir.

C’est dans ce contexte que s’inscrit le salon e-commerce 1to1 Monaco qui se tiendra du 20 au 22 mars 2018 à Monaco.

L’ e-commerce one to one Monaco?

C’est avant tout un lieu d’échanges, de rencontres entre les différents acteurs du marché. C’est 3 jours de conférences, business & networking au cœur de Monaco. Ce salon que l’on ne présente plus est l’événement business digital incontournable de ce début d’année.

Chaque année depuis 2011 le salon présente les dernières innovations et tendances, et amène à des rencontres entre professionnels du e-commerce. En quelques chiffres, le one to one Monaco c’est plus de 1000 décideurs, 160 partenaires, 5500 rendez-vous, et plus de 150 ateliers experts.

Et nous y serons, comme chaque année ! L’occasion de pouvoir échanger sur les tendances et les problématiques du e-commerce.

Cette année, nous parlerons mobilité avec  Alexandre Le Hégarat, directeur SEO et Timothée Jonglez, directeur de notre agence parisienne. « Mobile-First commerce : quelle stratégie adopter ? »

Le constat est sans appel ! La part du trafic mobile ne cesse d’augmenter mais la conversion ne suit pas. Tips ux, techno AMP/PWA, stratégie search, mobile in-store : nous vous proposerons de challenger votre stratégie actuelle au travers de case studies concrets.

Le compte à rebours est lancé, nous sommes maintenant à 5 semaines de l’événement !

N’hésitez pas à venir nous rencontrez sur place, stand F2 E026 !

Retrouvez le programme complet du salon sur le site E-Commerce One to One. 

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L’EBG s’invite à Barcelone : Guess who’s ba… ah non c’est la 1ere fois qu’on vient

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Robots, réalité virtuelle, optimisation de l’expérience d’achat, exploitation de la data, l’année 2018 s’annonce novatrice pour le secteur du digital et du e-commerce. L’arrivée de l’IA au service des entreprises bouleverse les organisations et fait évoluer les mentalités.

Jusqu’où l’IA peut-elle transformer une entreprise ? Comment y parvient-elle ? Et surtout, que qualifions nous (réellement) d’intelligence artificielle ? Ces thématiques donnent le vertige à la plupart des entreprises qui constatent qu’elles se trouvent au bord d’une falaise : Effectuer le grand saut avec son parachute en étant préparé, ou se laisser tomber en espérant atterrir sans trop de dégâts ? Car voyez-vous, le monde évolue et l’homme a soif de changement, et ce changement accélère sans cesse, et la tendance est vouée à continuer de grimper de manière exponentielle.

Comment évoluera notre monde demain ?

La thématique est trop large pour avoir une réponse sur quelques lignes, seuls des rencontres, des réflexions communes, et des échanges d’idées peuvent nous donner une réponse concrète.

C’est dans ce contexte particulier que s’inscrit le Digital Benchmark Connect de l’EBG. L’EBG, ou Electronic Business Group, est le plus grand club d’innovation numérique de France. C’est plus de 660 compagnies membres regroupant 160 000 consultants professionnels qui organisent des conférences, des groupes de travail et qui participent à plusieurs événements annuels, dont le Benchmark qui se tient cette année à Barcelone.

Début avril plus de 600 décideurs numériques de tous horizons se rencontreront à la cité Comtale pour parler des tendances et des évolutions de notre écosystème digital.

Le Digital Benchmark Connect, kesako ?

L’événement organisé par l’EBG se déroulera à un moment crucial : Nous sommes maintenant au carrefour de la pérennité du e-commerce. Le secteur s’est implanté depuis plusieurs années et connaît maintenant un essor sans précédent qui ne connaîtra pas de d‘essoufflements avant bien longtemps. Pour les marques, trouver sa place et fidéliser ses consommateurs est primordial. C’est précisément là que réside le challenge pour les entreprises.

L’événement a un programme rythmé, passant de conférences à des ateliers, sans oublier des réunions d’affaire à des rencontres professionnelles.

Le but de l’événement est de permettre à chaque participant de pouvoir rencontrer des acteurs de son marché, de s’inspirer, et d’échanger des idées.

Et pour cette deuxième édition du Benchmark …

… Nous serons présents ! A peine revenu du salon One to One de Monaco, notre équipe repartira, et fera cap sur Barcelone ! Le 5 et le 6 Avril 2018 nous serons sur place pour présenter 2 thématiques de la Digital Performance qui occupent une place importante dans le e-commerce : le CRO, ou plus communément le Conversion Rate Optimization, et l’e-merchandising, ou plus communément appelé … e-merch.
Pour cette première édition nous laisserons notre duo de choc Camille Radzioch, consultante en e-merchandising & Anthony Le Crom, responsable analytics et conversion, prendre le micro pour vous présenter nos benchmarks.

Un peu moins de 4 semaines nous sépare du début de l’événement, see you there !

Pour connaître tous les détails sur le déroulement  je vous invite à vous rendre sur leur site.

Sinon dans le reste de l’actualité nous avons assisté à la dernière conférence de Google sur le SEO, et honnêtement on trouverait ça bête que vous le manquiez, alors on vous le met juste là.

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altima°, première agence certifiée Early Birds !

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altima° devient la première agence française à être certifiée sur la plateforme Early Birds pour son expertise conseil dans la mise en place et l’exploitation de solutions de personnalisation marketing permettant aux e-commerçants et retailers de construire une expérience client omnicanal sans couture et sur mesure.

Early Birds en quelques mots

Early Birds développe une solution de marketing prédictif dont l’objectif est de personnaliser l’offre en temps réel et en omnicanal, en proposant à chaque visiteur les produits ou contenus pour lesquels il a le plus d’appétence.

Cette plateforme hybride allie du machine learning et un back-office de merchandising afin de pousser des recommandations personnalisées tout en en prenant en compte les enjeux métier des annonceurs.

Élue start-up la plus innovante de l’année en 2017 par la FEVAD et KPMG, Early Birds a conclu un tour de table de 5 millions d’euros en septembre dernier.

Forts de cette levée de fonds, les équipes Early Birds continuent à investir massivement en R&D et ont ouvert un bureau à Londres afin de développer l’international.

Quelques références

Les équipes Early Birds accompagnent aujourd’hui plus de 70 clients dans plus de 15 pays, dont les plus gros acteurs du marché FR.

Parmi eux : Fnac-Darty, La Redoute, Birchbox, Lacoste, Louis Pion, Carrefour, Boulanger, Gémo, The Kooples, Nature & Découvertes.

Forts d’expériences communes, l’agence altimaº a donc le plaisir d’officialiser sa certification en tant que première agence partenaire d’Early Birds.

L’équipe eMerchandising d’altima° officialise ainsi son expertise pour vous accompagner dans le déploiement et l’exploitation de solutions de personnalisation marketing.

 

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« Alexa peux tu me m’en dire plus sur le référencement et la recherche vocale ? »

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Afin de commencer cet article sur de bonnes bases, et pouvoir ainsi donner d’emblée de la crédibilité au sujet, allons nous trouver quelques statistiques sur l’utilisation de la recherche vocale sur les 2 dernières années.

Prêt(e) ? C’est parti !

 40% des adultes ont effectués une recherche vocale minimum sur internet en 2016, 25% des 16-24 ans utilisent fréquemment la recherche vocale sur leurs mobiles, et 41% des personnes qui utilisent la recherche vocale ont commencé il y a moins de 6 mois. Comscore prédit que 50% des recherches sur internet en 2020 s’effectueront par la voix, et l’on estime à 21,4 millions le nombre d’enceintes connectées aux USA en 2020, avec un marché mondial qui dépassera les 17 milliards de dollars d’ici moins de 4 ans.

Et pour cause ! 2 facteurs simples que vous avez probablement déjà identifiés, sont responsables de cette nouvelle tendance : la navigation internet se passe de plus en plus sur mobile, et les assistants vocaux/enceintes connectées sont en pleine boom ! En France, depuis juillet 2017 le trafic internet mobile a dépassé le trafic internet desktop. Dans le même temps l’arrivée des enceintes connectées (que nous allons raccourcir par le terme anglo-saxon smartspeaker pour le reste de l’article) a chamboulé la manière de consommer ; d’abord aux Etats-Unis, puis depuis peu en Europe. On ne note plus une liste de course on la dicte à son smartspeaker. On ne lit plus les infos le matin, on les demande à son smartspeaker. On ne note plus dans son agenda, on donne ses rendez-vous à son smartspeaker. On ne … bon vous avez compris le concept pas besoin d’en donner plus. Même si la tendance est encore timide en France, l’usage des smartspeaker dans les pays anglo-saxons (et particulièrement aux États-Unis) a déjà fait l’unanimité.

La recherche vocale ne date pas d’hier, absolument tout le monde peut l’utiliser grâce au petit gadget formidable calé au fond de votre poche, ou posé sur votre bureau, que l’on appelle smartphone. Depuis la démocratisation des smartphones, le SEO vocal est devenu un véritable enjeu, avec Cortana, Siri, Google Voice Search : grâce au fait que le trafic internet est devenu de plus en plus mobile, cette façon de naviguer s’est rapidement développé. Ajouté à cela les smartspeakers (Google Home, Alexa, Hompod & Co) et vous obtenez n’importe quel moyen pour naviguer sur internet au simple son de votre voix.

Bientôt on conversera avec son moteur de recherche

Bien, ne perdons pas de temps et rentrons directement dans le vif du sujet : le référencement naturel (pour la suite de l’article nous n’aborderons que le SEO, pas le SEA, donc dans ce contexte précis si j’utilise le terme référencement, penser seulement SEO). Brève piqûre de rappel qui ne peut pas vous faire de mal : le SEO, ou Search Engine Optimization, a pour but d’optimiser le positionnement de vos contenus sur les différents moteurs de recherche.

Le vocal est donc une particularité intéressante du référencement. Les experts SEO doivent considérer la voix comme un critère de positionnement à part entière et ne pas la percevoir comme un danger qui viendra chambouler  le référencement naturel. Maintenant il ne s’agit plus simplement d’être visible, il faut aussi être audible !

Une utilité première pour le SEO local

La première utilité que trouve le SEO vocal c’est … le local. Les utilisations de la recherche vocale restent variées selon la personne. Mais on note quand même que les recherches vocales ont 3 fois plus de chance d’êtres locales que n’importe quelle autre recherche, tout simplement car on recherche une information rapide avec en général la géolocalisation activée (proximité d’un commerce, besoin d’un itinéraire, changement de musique en marchant, appel/message).

Répondre à des phrases

En soi la démarche et la réflexion restent quasiment les mêmes : on change simplement le format en passant d’une requête de mots clés à une question.

Les requêtes vocales des utilisateurs seront beaucoup plus informelles mais à la fois plus précises que les requêtes écrites. On utilisera plus des requêtes avec des phrases complètes que des mots clés : « Qui est l’inventeur d’internet ? » au lieu d’avoir « inventeur internet ». Il faut donc essayer de créer du contenu informel et avec un ton conversationnel. D’où l’utilité d’accentuer sa stratégie SEO autour de 3 points majeurs :

  • Utiliser le Long Tail
  • Avoir un contenu riche
  • Utilisation du marquage sémantique

Mais il y aussi un nouveau point à ne pas négliger ! Depuis la moitié 2016, le PAA est arrivé en France. Le People Also Ask complète dorénavant les Featured Snippets sur Google pour les requêtes françaises. Le principe des PAA pour la recherche vocale s’avère plus qu’utile, cela donne la sensation à l’utilisateur de converser avec quelqu’un d’autre et renforce ainsi le principe des recherches vocales.

Que pouvons-nous en penser ?

Il ne fait aucun doute qu’au vu des tendances actuelles la recherche vocale se positionne comme un des standards en référencement et que l’ignorer serait une bêtise. Cependant il est encore trop tôt pour commencer à clamer haut et fort que la recherche vocale est l’avenir et qu’elle surpassera les autres formats de recherche. Imaginer un tant soit peu l’utilité qu’elle pourrait représenter pour les personnes à mobilité réduites/âgées, ou simplement les perspectives d’avenir pour les objets connectés. Une chose est sûre : son développement n’est qu’à ses prémices et elle a un gros potentiel.

 

Si vous n’avez pas encore eu votre dose de SEO, je vous propose l’article d’Hugo, notre consultant SEO qui a assisté à la dernière conférence de Google, fin mars. Et il y a une chose à retenir : du mobile, du mobile, du mobile, un peu de Search Console, et … du netlin … non je plaisante c’est encore du mobile.

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altima° au Grand Prix Stratégies du Design

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Il n’y a pas de plus belle manière de commencer une journée !

Hier soir se déroulait la remise des prix du Grand Prix Stratégies du Design 2018 à Paris. C’est avec fierté et plaisir que nous vous annonçons une nouvelle récompense pour un projet qui, encore une fois, a su conquérir un jury ! Après une première place aux Trophées e-commerce notre collaboration avec MSR a de nouveau fait mouche ! Nous avons vécu hier une soirée magique pendant laquelle nous nous sommes vus remettre la troisième place dans la catégorie Web design – Sites et mini-sites produit pour la refonte du site MonShowroom

Pour vous replonger dans le contexte de notre projet, il y a un peu plus d’un an MonShowroom a fait appel à nous pour refondre son identité de marque, son expérience d’achat, ainsi que son parcours client. Après une première partie de recherches et d’analyse nous avons mis en place une refonte complète de leur plate-forme e-commerce autour de 4 univers : la femme, l’homme, l’enfant, et la décoration. Suite à ces grands changements MSR propose désormais une expérience et un parcours d’achat optimisés !

Grâce à cette belle collaboration, MonShowroom se positionne maintenant comme un véritable dénicheur de pépites, une e-boutique inspirante qui place ses consommatrices au cœur même de son univers.

On vous laisse découvrir notre article vous permettant de prendre connaissance de ce projet exceptionnel ! Et si jamais vous êtes plus visuel que texte, le showreel vous attend ici.

On se retrouve demain sur le blog ! Même heure, même endroit, avec cette fois-ci, un article paré de joyaux !

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C’est l’histoire d’un e-commerçant qui rentre dans une boutique

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En 2017 l’e-commerce français a connu une belle évolution avec des écarts qui au fil des années s’amoindrissent, mais restant largement positifs ! Les français ont dépensé 81,7 milliards d’euros, c’est 14,3% de plus qu’en 2016 ! En voyant croître ce secteur une question se pose : qu’adviendra-t-il de nos chères et tendres grandes surfaces et petits commerces ? Et bien ils disparaitro … non, bien sûr que non les commerces physiques ne disparaitront pas simplement car on peut acheter sur internet, et je vais, pour les plus sceptiques d’entre vous, vous expliquer pourquoi en quelques points à travers 2 concepts majeurs qui montrent la complémentarité du physique et du online : le Phygital et le ROPO (je n’ai pas inventé ces termes pour le bluff ne vous en faites pas). Ne perdons pas une minute !

Nous sommes passés d’un commerce traditionnel …

Bien, maintenant que la couleur est annoncée, nous allons faire un point sur les fondements du commerce pour comprendre comment nous en sommes arrivés là. Partons directement dans les années 1950-60 pour un bref rappel de l’arrivée du premier grand changement dans le commerce français, je parle bien évidemment des grandes surfaces ! Ah nos grandes surfaces, le début des grandes promotions, de la consommation de masse, dis comme ça, cela peut vous donner l’impression que mon point de vue se veut hostile à l’égard de cette manière de consommer : loin de là ! Toute chose évolue avec son temps et son environnement, et l’homme a soif de changement, mais peut ne pas toujours accepter la nouveauté, perçue aux premiers abords comme une insécurité. Lorsque les grandes surfaces se sont implantées en France, nous avons vu en premier lieu une menace pour nos commerces traditionnels, la fin des petits commerçants semblait avoir sonné ! Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts, les mentalités ont changé, et voici que les grandes surfaces se retrouvent confrontées, moins de 50 ans plus tard, à la démocratisation d’internet qui bouscule les codes de consommation.

… à une complémentarité entre 2 modes de consommation …

Internet a fait son petit bout de chemin, et comme disait notre ami Brassens, les braves gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux. L’arrivée de l’e-commerce n’a pas conquis tout le monde, à commencer par les commerçants. Alors certaines boutiques ont connu des difficultés, faute de se développer sur le plan numérique, mais celles qui ont vu le virage arrivé se sont adaptés et continuent maintenant leur activité sur la grande route du temps. Il faut aussi comprendre que l’on ne peut pas se passer des boutiques physiques, il y a toujours un facteur qui nous pousse à aller dans un magasin, pour essayer, découvrir, tester, se projeter, c’est là que réside la vraie force de la boutique. L’ère du 100% numérique dans le commerce n’est pas encore arrivé !

Nous avons déjà tous entendu une personne dénigrer les banques en ligne pour la simple raison que sur internet nous n’avons pas notre banquier, en chair et en os pour nous conseiller, vers qui on peut se tourner quand on a des questions. Et bien pour l’e-commerce le même principe peut s’appliquer ! Le facteur importance en moins je vous l’accorde, confier son argent à une banque et acheter une compilation des meilleurs Tarantino ne sont pas à la même échelle.

Le réel atout du commerce physique, la plus-value qu’il a sur le commerce online, tient de la relation qu’une marque entretient avec un client, du conseil qu’elle peut proposer en physique. C’est ici qu’intervient le concept Phygital : se renseigner en boutique, et acheter en ligne (nous verrons l’exemple inverse dans le prochain point).

La force du commerce physique ne s’arrête pas là bien sûr, dans une boutique vous vivez une réelle expérience d’achat ! Tout le monde le sait, mais c’est tellement évident qu’on le néglige bien trop souvent. Et ça les grands retailers et e-commerçants l’ont compris. Par exemple, Alibaba a déployé pendant l’édition du Singles’ Day 2017 une application de réalité augmentée appelée « Catch the Cat », la firme a déployé des pop-stores et des smart-stores partout sur le territoire chinois pour amener ses clients à consommer dans des boutiques et à y découvrir ses produits sur place. Le concept appelé sobrement « New Retail » est le revers d’une nouvelle intention du géant chinois : mixer le physique à l’online pour attirer et renouveler son expérience d’achat.

Deuxième exemple probant : Amazon. L’e-commerçant numéro 1 dans le monde a pris un tournant majeur en rachetant en juin 2017 la chaîne de magasins, spécialisée dans le bio, Whole Foods. Coup d’éclat sur l’investissement de Jeff Bezos, grosse suée pour Doug McMillon, le rachat fait parler, mais l’intention d’Amazon était claire : développer son offre alimentaire in-store. Depuis Amazon s’est implanté durablement sur le marché et a multiplié la création de ses services offline. Tout récemment la firme de Jeff Bezos a lancé Amazon Go, sa supérette dans laquelle vous avez juste à venir, prendre ce que vous souhaitez et repartir : expérience d’achat fluide, rapide, le consommateur ne perd pas de temps et accède directement à sa demande. Le côté attrayant et fidélisant ? Avoir une expérience client optimisée et se rendre compte qu’Amazon utilise l’intelligence artificielle pour vous permettre d’effectuer des achats sans passage en caisse. Voilà les leviers sur lesquels il faut appuyer pour propulser une boutique : l’expérience d’achat physique, l’utilisation de technologies numérique pour parfaire le parcours d’achat (IA, Blockchain, paiement mobile), et les stratégies technologiques déployées pour vous faire interagir/vous fidéliser à la marque (Application AR, casque VR, pop-stores).

… que tout oppose

On reprend le même concept mais on l’inverse cette fois-ci et nous allons voir ce qu’est le ROPO, ou plus simplement, le Research Online, Purchase Offline. Chercher la réponse à une question sur le net est devenu avec le temps un réflexe pour la plupart des personnes (Googliser est carrément devenu un verbe rentré dans le Larousse). L’idée est simple : vous cherchez la référence d’un produit sur le net, vous le comparez à d’autres produits similaires, et bien souvent vous finalisez votre achat directement en magasin. L’idée du concept réside dans la simplification même de l’acte d’achat et de passer outre les délais et les possibles frais de livraison.

Face à cette tendance de consommation les entreprises doivent s’orienter vers une stratégie omnicanale, permettant de rapprocher le consommateur de la marque. Le Web to Store est une des solutions les plus privilégiées pour mettre en place une stratégie ROPO. Mêlant proximité des magasins physique, et choix/analyse de la boutique online, il représente le meilleur moyen de développement pour une entreprise qui joue sur le tableau de la proximité. 

Alors oui, le e-commerce ne remplacera pas complètement les enseignes de commerce traditionnel. Mais le monde évolue et personne ne peut vraiment savoir où cela nous mènera dans 10, 20 ou même 100 ans. Une chose est sûre, cela évoluera encore, et pour le moment la meilleure des manières pour rester visible sur son marché, c’est d’être présent sur le web ! Et là, nous, on s’y connaît !

Si le sujet vous intéresse je vous invite à lire la tribune de Jean-Pierre Cauchy parue la semaine dernière dans Stratégies. Le sujet ? Réinventer l’expérience client grâce au digital.

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French Days : le Black Friday made in France commence demain

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Vendredi le coup d’envoi sera donné ! Cette année 6 grandes marques et distributeurs français ont décidé de créer une grande opération de promotions sur l’hexagone : les « French Days ». Ce Black Friday à la française lancera sa première édition le vendredi 27 avril et se clôturera le mardi 1er mai. Quelles marques se trouvent derrière cette opération, quels sont les intérêts pour les commerçants et les consommateurs ? Explications.

Un événement connu des français

Revenons sur le Black Friday un court instant et partons aux USA dans les années 1950. A cette époque la comptabilité des commerces était encore tenue à la main pour la plupart des enseignes, et traditionnellement les consommateurs américains font leurs courses pour les fêtes de fin d’année, le lendemain de Thanksgiving (qui se tient chaque année le 4ème jeudi du mois de novembre). Le vendredi qui suit Thanksgiving est donc une journée de forte consommation à travers le pays qui (à l’époque) faisait bien souvent sortir les chiffres d’affaires des enseignes du rouge. Ainsi sur leurs comptabilités, les commerçants notaient les chiffres au crayon noir, ce qui donna le nom de « Black Friday » à cette journée si particulière pour le commerce américain. De fil en aiguille les commerçants suggérèrent d’utiliser une alternative à ce terme et de mettre en place de grandes opérations de promotions pour satisfaire la demande des consommateurs.

En France le Black Friday est un évènement avec un impact moindre, dû à l’absence de l’appartenance de cette tradition, mais les e-commerçants l’ont quand même mis en place dès 2014 en proposant des prix au rabais. Tout se passe alors sur internet, et le terme Black Friday est décliné en « Vendredi Noir » avant de devenir « Journée XXL ». Le concept, importé des USA a un impact moins important sur l’hexagone mais les français y éprouvent tout de même un intérêt grandissant. Ainsi les dépenses effectuées en ligne lors de ce week-end, croissent de 30% entre 2016 et 2017. Il serait donc intéressant à la fin de l’année de comparer les résultats des French Days à ceux du Black Friday, vous ne trouvez pas ?

Mais donc les French Days … concrètement c’est quoi ?

Nous pouvons qualifier les French Days comme une opération de grandes promotions, s’inscrivant dans une période de l’année cruciale aussi bien pour les consommateurs que pour les marques. L’annonce est tombée jeudi dernier (le 19 avril), 6 grands acteurs de l’e-commerce français décident de lancer cette vaste opération de promotions sur leurs produits. Parmi les têtes d’affiche nous retrouvons Boulanger, Cdiscount, La Fnac-Darty, La Redoute, Rueducommerce, et enfin Showroomprivé. Mais entre temps de nouvelles marques ont décidé elles aussi de les rejoindre. La liste des enseignes qui se joignent à la fête s’allonge … la gamme de produits aussi par conséquent ! Je parle bien évidemment de Toys’R’Us, de Monoprix, de PriceMinister ou encore de Sarenza ! Les instigateurs de ce projet proposent à n’importe quelle enseigne française de rejoindre le projet avec la mise en place d’un site internet.

Un RDV commercial en devenir

« Les French Days, c’est l’histoire d’un chiche, chiche de créer une opération forte de promotions en ligne qui ne soit ni liée aux soldes ni importée de l’étranger. » -Nathalie Mesny (CEO de RueDuCommerce) lors d’une interview pour LSA-CC

Plusieurs raisons peuvent justifier la tenue des French Days. Tout d’abord les membres initiaux du projet souhaitent lancer ce rendez-vous commercial pour répondre aux consommateurs français qui apprécient ce genre d’opération spéciale. Le Black Friday en étant la preuve. Cet événement est maintenant connu de plus de 71% des français qui profite de ce week-end de promotions pour préparer les fêtes. Les French Days seront aussi l’occasion de proposer une expérience client inédite qui s’adapte aux besoins de consommations des français, chaque enseigne étant à même de proposer les animations de son choix pour attirer sa clientèle.

Ce projet a aussi une double facette : le physique et le online. Les French Days sont l’occasion parfaite pour proposer des promotions entre les soldes d’hiver (qui se tiennent généralement en janvier) et les soldes d’été (qui se déroulent vers la fin du mois de juin), à une période cruciale où les consommateurs français, dopés par l’arrivée des beaux jours préparent déjà leur été.

Les gammes de produits privilégiés ? Le mobilier de jardin, l’électronique (indémodable, comme toujours), et le sport. Les enseignes estiment ainsi que les ventes en ligne qui seront bénéfiques, se refléteront sur leurs affaires dans les boutiques physiques.  L’opération ne tombe pas non plus un jour anodin ! Lancée en fin de mois, la portée des French Days devrait s’accroître grâce au pont du premier mai et au temps libre donné aux consommateurs français.

Alors … réussite en devenir ou échec déjà programmé ? La question reste entière mais tous les indicateurs sont au vert pour ces journées qui s’annoncent prolifiques. La réussite d’un tel projet pourrait d’ailleurs conduire les enseignes à réitérer l’opération. Aurions-nous notre rendez-vous commercial 100% frenchie ? Seul le temps nous le dira.

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La ruée vers la data : l’or incolore du XXIème siècle

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Et si je vous disais que le marché de la data à des fins marketing dans le monde en 2016, était de 28,65 milliards de dollars (1) vous trouveriez ça énorme ? Accrochez-vous alors, car nous estimons que le marché mondial de la data en 2021 pèsera plus de 67 milliards de dollars (2). Et oui ! Vos données n’ont jamais coûter aussi cher qu’aujourd’hui. En termes de valeur symbolique, la data est devenue l’élément le plus important de nos jours !

Au milieu du XIXème siècle, si vous étiez américain, vous pouviez croiser un vieil homme, chapeau vissé sur la tête, les mains abîmés par la tâche, et le visage bruni par le soleil, à la recherche de ce qu’il y avait de plus précieux à cette époque : l’or ! De nos jours cette rencontre, quoique fortuite, serait nettement moins probable, et ce que l’on peut estimer comme « précieux » s’est complétement dématérialisé. Je parle bien évidemment des données. Ah encore les données ! Avec l’entrée en vigueur du RGPD et l’affaire Cambridge Analytica, les utilisateurs commencent à prendre conscience de l’impact de leurs données et de ce qu’elles représentent pour les marques. Comme vous l’avez constaté certaines grandes compagnies les utilisent à des fins injustifiables et complètement abusives, néanmoins, pour la très grande majorité des entreprises, la data est utilisée à bon escient, sans abus, et vous offre tous les jours des expériences d’achat personnalisées sans empiéter sur votre vie privée.

Vous avez dit Big Data ?

Tout d’abord parlons un peu d’un terme à la tournure grossière, qui veut dire beaucoup et très peu de choses à la fois. Le Big Data est un terme récent, né d’une problématique nouvelle : le volume des données numériques a littéralement explosé ces dernières années, et le traitement et le stockage de ces données nous ont amenés à trouver de nouvelles façons d’analyser et d’appréhender le monde du numérique. Le Big Data nous permet de regrouper la masse de données que nous nous échangeons, mais aussi que nous créons chaque jour, sous le même terme : signaux GPS, vidéos, messages, fichiers, informations, publications.

L’importance de la donnée a été décuplée depuis l’avènement des réseaux sociaux : là où avant notre présence sur le web se limitait à quelques pseudonymes, mots de passe, et adresses mail, nous avons commencé à fournir plus de données aux géants du web (contacts, genre, adresse, lieu de travail, et des informations même plus personnelles). Ce grand volume de données ne vaut rien sans analyse. La plus-value pour les marques, comme pour nous, réside dans leur exploitation afin d’envoyer le bon contenu au bon moment (si je devais simplifier l’idée).

Une intrigue fascinante

Vous l’aurez compris, l’intérêt même d’analyser une donnée est de pouvoir la rentabiliser, et de pouvoir toucher un utilisateur précis, à un moment précis, et bien souvent dans un contexte … précis aussi. On parle dans ce cas de Fast Data ! Le principe du Fast Data est d’exploiter la donnée qui vient juste d’être générée, et de l’utiliser avant qu’elle ne perde de la valeur. Dorénavant on ne souhaite plus analyser les données en lot, de manière différée, mais la traiter en temps réel.

« Aujourd’hui les individus achètent de l’expérience … pas un produit » pour citer Shantanu Narayen, CEO d’Adobe Systems, lors de l’Adobe Summit. Vous et moi le savons, la personnalisation d’expérience d’achat est l’un des points fondamentaux dans une stratégie de marketing digital pour se différencier de ses concurrents. Il est plus réconfortant d’acheter un produit d’une marque qui connaît mieux nos goûts et nos préférences, qui nous propose et nous conseille des produits. « La première impression compte » s’applique aussi au e-commerce ! La relation entre une marque et un consommateur commence dès la première visite ou le premier achat d’un utilisateur sur le site d’une marque. Le fidéliser est le premier défi d’une entreprise, car un client fidélisé est un client qui, potentiellement, va recommander votre offre à son entourage. Il est bien moins coûteux à une entreprise de fidéliser ses clients que de passer son temps à en acquérir de nouveaux pour les perdre juste après. Mais pour revenir à nos données, c’est là précisément qu’elles feront effet : dans la personnalisation du parcours d’achat. Personnaliser l’expérience d’un client avec une marque renforce la relation qu’il entretient avec cette dernière.

La publicité est le revers moins plaisant de l’utilisation des données d’un consommateur, mais ici je parle des données dans le but de personnaliser et parfaire une expérience. La problématique est de pouvoir cibler un problème avant même que l’utilisateur le remarque. De pouvoir comprendre ses besoins, de lui proposer des produits ou des offres en adéquation avec ses attentes.

Et à quoi peut-on s’attendre pour la suite ?

En quelques mots : IA, automatisation, data science, et commerce prédictif !

L’IA et la Blockchain sont les 2 technologies que tout le monde a sur les lèvres depuis le début de cette année, mais dans notre cas, nous allons exclure cette dernière et commencer par nous pencher sur l’utilité de l’IA dans le domaine de la data. Néanmoins si le sujet de la Blockchain vous intéresse, je vous laisse l’article de notre expert acquisition, Nicolas Francisoud, qui vous explique l’intérêt de la Blockchain pour la publicité.

Revenons donc à notre data. De plus en plus d’outils utilisent l’IA pour automatiser et optimiser les analyses. Certains outils comme Ascend commencent à voir le jour, ils permettent grâce à l’IA, d’industrialiser certaines pratiques comme, dans le cas présent, l’AB testing. L’outil va explorer lui-même votre audience et mener une multitude de tests afin de définir quel segment d’utilisateurs répond le mieux à telle ou telle version d’une page ou d’un contenu.

Connaître la typologie de ses clients c’est bien … connaître leurs sentiments et leur personnalité c’est mieux ! Car même si les profils démographiques proposent une segmentation des acheteurs toujours plus précise, ces derniers ne se comportent pas de la même façon. Prenez par exemple Martin, trentenaire, en couple, résidant dans le 14ème arrondissement parisien et aimant la cuisine et le skateboard. Même s’il remplit les mêmes cases (d’un point de vue démographique et social) qu’une autre personne, il n’a pas les mêmes attentes qu’elle vis à vis d’une marque. Et dans ce cas précis nous pouvons citer Optimizely X ou la nouvelle fonctionnalité Einstein de Salesforce. Optimizely X, la plateforme de personnalisation du célèbre outil d’AB test, dispose aussi d’une brique exploratoire permettant d’identifier des segments utilisateurs ayant un comportement similaire sur le site et donc potentiellement à même de réagir aux mêmes stimuli !

Cette tendance des outils à s’orienter vers l’intelligence artificielle ne s’arrête pas là, qu’il s’agisse de Salesforce qui a récemment lancé son IA Einstein, ou encore Google Analytics qui test depuis quelques temps sa fonctionnalité d’analyse intelligente.

L’exploitation des données amènent un client à avoir un meilleur parcours d’achat, et pour les marques cela leur permettent d’avoir une meilleure connaissance client ! Ces éléments indissociables, sont les leviers d’une stratégie de marketing digital qui intervient dans la fidélisation des utilisateurs. Aura-t-on à l’avenir une version de site entièrement personnalisé à un consommateur en fonction de son profil ?

Merci à Anthony pour le coup de main sur ces indications et les informations essentielles à l’article !

En parlant de données et de connaissance client, notre dernier projet CRM illustre parfaitement les quelques points que je vous ai expliqué. Notre collaboration dans les grandes lignes ? Centralisation des données clients, mise en place de nouveaux parcours, et création de nouveaux supports digitaux, rien que ça !

(1) Chiffre venant de Mediapost Communication

(2) Chiffre venant de MarketsandMarkets

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La Blockchain au service de l’e-commerce

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Avec une visibilité accrue gagnée en quelques mois par l’emballement des crypto-monnaies, la Blockchain et ses bénéfices ont percé au grand jour et aux yeux de tous. Considérée comme le Saint Graal pour remédier à certains problèmes dans notre monde numérique, cette technologie aurait un intérêt tout particulier pour l’e-commerce. Comment ? Tâchons de faire un tour d’horizon pour y répondre !

 Au cœur de la Blockchain

Pour commencer, rappelons ce qu’est brièvement la blockchain pour établir une base solide de ce qui va suivre. Si l’on prend la définition du site BlockchainFrance.net, la Blockchain est « une technologie de stockage et de transmission d’informations, transparente, sécurisée, et fonctionnant sans organe central de contrôle ». Pour expliciter ces propos, la blockchain une base de données qui contient l’historique de l’ensemble des échanges effectués entre les utilisateurs depuis sa création. Ces échanges sont regroupés par blocs, qui sont rattachés entre eux et forment une chaîne, témoignant de l’origine des données. Le lien entre ses blocs sont appelés « nœuds de réseau » et sont validés, sont « scellés », par des techniques qui changent selon le type de Blockchain.

Par extension, la Blockchain est un grand livre de comptabilité : « c’est un très grand cahier, que tout le monde peut lire librement et gratuitement, sur lequel tout le monde peut écrire, mais qui est impossible à effacer et indestructible. » – Jean-Paul Delahaye, mathématicien, informaticien, et auteur de nombreux ouvrages sur les liaisons entre ces deux domaines d’expertises.

Une utilisation déjà expérimentée dans le e-commerce

Pour revenir au e-commerce, l’utilisation de la blockchain sur ce marché n’est encore qu’à ses premiers jours d’existence. Certains grands groupes s’y sont intéressés et le retour sur investissement est présent !

Fin mars, Alibaba annonce le lancement de sa première blockchain pour assurer le suivi et la fiabilité de ses produits et lutter ainsi contre les contrefaçons et les arnaques en tous genres sur ses marketplaces. La première annonce, le 24 mars, d’une expérimentation de la blockchain s’était révélée pleine de promesses, le groupe qui cherche à s’exporter à travers le monde doit d’abord veiller à optimiser la fiabilité de ses produits pour espérer conquérir de nouveaux marchés.

Mais Alibaba n’est pas le seul groupe qui fait de l’œil à la Blockchain ! En France le groupe Carrefour a annoncé le 23 janvier une application de la Blockchain sur son offre alimentaire, en commençant par une phase d’expérimentation sur un produit, avant d’annoncer l’application de cette technologie à huit autres de ses filières dans l’année. Au même titre qu’Alibaba, Carrefour veut renforcer la traçabilité de ses produits pour ses consommateurs. Ces derniers n’auront plus qu’à scanner le QR Code apposé sur l’étiquette du produit pour connaître toutes les informations, du début, à la fin de la chaîne.

Les deux géants américains Walmart et Amazon l’ont aussi récemment adopté. Walmart, en collaboration avec IBM l’utilise pour assurer la fiabilité de ses produits, et Amazon, jusqu’ici réticent à l’adoption de cette technologie a finalement annoncé fin avril le lancement d’un service de gabarits de Blockchain au sein de l’AWS pour concurrencer IBM, Huawei et Oracle.

Une optimisation des chaînes d’approvisionnement ? Et c’est tout ?

Pour répondre tout d’abord à la question de cette partie je prends peu de risques en répondant : non … il y a bien plus que ça ! Revenons à l’origine même de la Blockchain : les échanges entre 2 utilisateurs. La première application de la Blockchain au e-commerce pourrait se présenter comme un « Smart Contract ». Un Smart Contract c’est un contrat qui fige les règles définies lors d’un accord, dans une Blockchain et assure le transfert d’un actif lorsque les conditions contractuelles se vérifient. En d’autres mots c’est un contrat auto-exécutant, et complètement sécurisé après la validation des accords.

Pour l’e-commerce cela représente la possibilité d’avoir des transactions fiables, directement entre le vendeur et l’acheteur. On peut aussi voir dans la Blockchain un accès facilité à une preuve de nos achats. Vous cherchez à vous faire rembourser d’un site e-commerce mais vous ne retrouvez plus le mail de confirmation d’achat d’un produit ? Pas de soucis, car heureusement pour vous le site sur lequel vous avez fait votre achat utilise une Blockchain pour toutes ses transactions. Problème résolu, l’e-commerçant a pu avoir accès à cette donnée et ainsi prouver votre achat.

Autre problème dont la Blockchain apporte une solution : les fake reviews de produits. D’un côté nous avons des clients qui doutent de la véracité des avis laissés en ligne, et de l’autre nous avons les e-commerçants fatigués des stratégies malhonnêtes et abusives de certains de leurs concurrents qui les bombardent de faux avis négatifs. La solution à ce problème épineux ? Utiliser la Blockchain pour vérifier les avis donnés sur les marketplaces. Cela ne réglera pas le problème des fake reviews déjà postés, mais cela renforcera la légitimité des prochains, à l’image de la solution proposée par Zapit.

Pour un autre aspect, plus publicitaire et prometteur cette fois-ci nous pourrions voir une utilisation de la Blockchain pour rémunérer les utilisateurs qui postent, votent, créer et partager leurs contenus. Steemit est le parfait exemple ! Fonctionnant comme un réseau social, la plate-forme propose aux utilisateurs de se récompenser financièrement entre eux avec la crypto-monnaie du réseau, encourageant ainsi la création de contenus et l’alimentation de ces derniers. Pourquoi ne pas exporter ce principe et l’appliqué à un site e-commerce ? L’idée semble tout à fait faisable !

Une autre piste à explorer : la vérification des sites internet. Faisons un court crochet par la publicité : pour l’heure la Blockchain joue le rôle d’une technologie pionnière dans la vérification des sites pour les annonceurs. Prenez AdChain : AdChain est un protocole ouvert basé sur la Blockchain Ethereum qui dresse une liste de sites internet sécurisés pour les annonceurs. Cette liste est régie par le vote des possesseurs d’adTokens qui décident d’intégrer ou non, un site à la liste. Pour saisir pleinement ce système de vote je vous laisse prendre connaissance de l’article de Nicolas Francisoud, notre expert acquisition, sur l’utilisation de la Blockchain pour les annonceurs. L’AdChain pourrait-il ouvrir les prémices à un système similaire pour la vérification de sites e-commerce ? Une liste faisant office de review globale, infalsifiable, sur une multitude de sites internet.

Mais le plus grand changement dans le e-commerce par la Blockchain, pourrait bien être le paiement ! Shopify, une solution e-commerce, qui a séduit de nombreux sites e-commerce comme Tesla Motors, RedBull, ou encore GymShark et dont la force réside dans les 70 passerelles de paiement acceptées, dont les crypto-monnaies (Ripple, Bitcoin, Ethereum ou encore LiteCoin). Chacune de ces crypto-monnaies ayant sa propre Blockchain, le consommateur a, s’il le souhaite, un large choix de solutions de paiement. Pour l’e-commerçant, rien de plus simple, il lui suffit d’ajouter un module de paiement (comme le module proposé par CoinBase, qui est une plate-forme online d’achat/vente/stockage de crypto-monnaies) pour parfaire sa solution.  La blockchain permettant de payer sans passer par un intermédiaire, il y a un réel bénéfice pour le consommateur, et cela représente toujours une catégorie de potentiels utilisateurs à cibler.

 

Au vu de l’utilisation de la Blockchain par des groupes ayant des moyens colossaux notre première interrogation est de savoir si cette technologie a un intérêt rentable, autre que la fiabilité des produits dans le e-commerce. Et bien la réponse se trouve … dans notre imagination, tout simplement. Cette technologie a un potentiel, certes, énorme, et pour l’heure son utilisation reste « cantonnée » a une vérification des données, mais comme énoncé plus haut, la Blockchain peut avoir de multiples utilisations, avec une force et une efficacité nettement supérieure dans certains cas, que les dispositifs digitaux actuels.

Seul le temps nous montrera si le développement de cette technologie sera à la hauteur de ses promesses et surpassera ce que nous avons connu. Les grands titres de la presse, et l’emploi du terme « Révolution Blockchain » aura alors le crédit qu’il lui est, quelque peu réfuté.

Merci à Nicolas Francisoud pour ses indications sur les aspects plus techniques.

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